Les athlètes de handi-escalade les plus performants s’affrontent dans la discipline de difficulté. Les athlètes sont répartis en différentes catégories en fonction de la nature et du degré de leur handicap afin de garantir des compétitions aussi équitables que possible. Malgré leur handicap, certains athlètes sont capables d’escalader des voies très exigeantes, allant jusqu’au degré de difficulté 8 de l’échelle de cotation française.
Membres() manquant(s)
Tonicité musculaire réduite
Troubles de coordination des mouvements (ataxie)
Mouvements involontaires (athétose)
Vision réduite
Force musculaire réduite, p. ex. après une lésion à la moelle épinière
Mobilité des articulations limitée
Différence de longueur des jambes de min. 20%
Petite taille (<140 cm)
Les grimpeur·euse·s de handi-escalade doivent présenter au moins un des handicaps suivants, qui remplisse en autre ce qu’on appelle un «critère minimal».
Pour de plus amples informations: Paraclimbing IFSC.